• 21 out, 2022
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Les entrees : le temps qui passe la nature la relation poete cousine

moyen qui passe

c’est 1 poeme orphique dans lequel le poete pleure la perte une femme aimee et regrette moyen ou il est a ses cotes. Le poeme va opposer l’ephemere et l’eternel, le temps organique et le temps mineral. Des la premiere strophe apparait cette opposition : « nuit eternelle », moyen est donne par la metaphore « l’ocean des ages » et l’adjectif « eternelle », ainsi que l’adverbe hyperbolique « toujours ». Cela s’oppose au temps libre ephemere « un seul jour » (S 1). L’antithese « i  chaque fois » et « un seul jour » vient ouvrir et clore la strophe .

Cette premiere strophe met en place moyen qui passe trop vite Afin de l’homme et qu’il voudrait retenir ainsi que l’eternite d’une nature. Cela utilise, pour « marquer » moyen, les indices temporels « naturels », le champ lexical un moment, les temps libre verbaux, et des adverbes ou adjectifs de temps.

– Mes indices « naturels » temporels : « l’annee » (strophe 2) « votre apri?m » (strophe 4), « des heures », « les gens nos journees » (S 7), « Notre nuit », « l’Aurore » (strophe sept). On remarque des moment longs tels que «l’annee » et des temps libre courts comme « l’Aurore » ou « l’heure ». Ce seront des marqueurs du cycle du temps.

– Le champ Lexical du temps : tout d’abord avec l’evocation aussi du temps lui meme ; la jeune femme s’adresse au temps avec le vocatif « O moment », Il semble donc allegorise, une meme maniere elle s’adresse aussi a toutes les heures « et vous heures propices ». Le temps est evoque a travers deux metaphores premierement la metaphore de l’eau qui revient dans le discours de Anna « coulez, coulez pour eux » et la metaphore de l’oiseau avec l’evocation du vol « suspend ton vol ». la metaphore de l’eau est utilisee des la strophe 1 via le poete : « l’ocean des ages » , « nouveaux rivages », «jeter l’ancre ».

– des adverbes et adjectifs temporels : qui vont la bien montrer des temps courts ou longs, rapides ou lents : « forcement », « jamais », « eternelle»(S1), « tout juste »(S2), « tout a coup »(S5), « rapides »(S6), « fugitive »(S9), « vitesse »(S10) on remarque que les termes qui montre la rapidite du temps paraissent associes a l’epoque ou les amoureux etaient ensembles.

Les temps verbaux : moyen apparait aussi dans l’utilisation des temps et de leur valeur.

On voit bien d’abord un present d’enonciation celui qui correspond au present du poete « je viens » (S 2) et celui que l’on retrouve dans la parole rapportee au style direct de Anna « je demande », « je dis » (S 8), mais aussi un present de verite generale pour imager la fuite un moment « l’homme n’a point de port , moyen n’a point de rive »(S1). On trouve aussi un futur mais qui evoque a chaque fois une fatalite douloureuse. « Ne pourrons-nous pas « (S1); « ne nous les rendra plus »(S11). Cela utilise aussi des temps libre du passe surtout l’imparfait pour decrire le temps ou il etait avec Anna Charles «on entendait au loin »(S4) ou encore et cela est plus surprenant, le passe compose au dernier vers du poeme « ils ont adore » qui semblent montrer que l’amour reste fini. On remarque que les verbes qui parlent un moment sont tous des verbes de mouvement qui traduisent ainsi l’impossibilite d’arreter le temps : « emportes » (S 1), « coulez » (S 7), « m’echappe et fuit » (S 8), « nous passons » « s’envolent » (S 10).

Notre nature chez nos romantiques a une importance capitale . Elle est a la fois le refuge, la confidente, le miroir des emotions du poete. En effet dans votre poeme Lamartine se refugie dans cette nature qui avait accueilli ses amours et qui maintenant l’accueille avec ses souvenirs

– Sans compter que la nature devient le refuge du poete « s’asseoir dans votre pierre » il va i?tre vraiment totalement entoure accueilli par la nature « les flots » (strophe 2), « des roches » (strophe 3). Mais aussi « coteaux », « sapin » (strophe 14) et donc une description d’une nature qui l’entoure et une telle nature apparait a travers tous les sens du poete : la vue donnee par les differentes descriptions et les couleurs telles que « front d’argent qui blanchit a surface » (strophe 15), l’odorat « parfum leger » (strophe 16) le toucher « l’ecume de tes ondes sur ses pieds adores » (strophe 3) ou enfin l’ouie « les trucs de tes bords partaient bords repetes » (strophe 15)

– . Des Notre strophe 2 le poete personnifie le lac avec le vocatif « O lac ». La personnification sert au poete Afin de se confier il s’adresse ainsi a la nature comme a une amie ainsi « regarde » (strophe 2), « t’en souvient-il » (strophe 4). I€ noter que le poete tutoie la nature, il partage avec i§a ses souvenirs « tu la vis asseoir ». On va pouvoir se rendre compte que non seulement il partage ses souvenirs avec la nature mais il lui demande en plus de devenir la gardienne des souvenirs ! la nature devra garder l’empreinte de leur amour. « Gardez, belle nature, au moins le souvenir ! »